Jusqu'en enfer

voici un excellent film dans le genre qui rend hommage aux vieux film d avant tel qu'evil dead . pas etonnant car le realisateur est sam raimi celui qui a realisé evil dead (et spiderman). Ce film et j'insiste a vraiment l'intelligence de marier le caricatural avec la peur . car oui on aura beau se moquer devant certaines scenes , on en frissonera tout autant , sauf peut etre ceux qui n'ont aucune croyance envers une quelquonque religion . et surtout la fin pour une des rares fois est magistrale et reste coherente avec tout le film ! Je vous en dis pas plus ^^




voici le synopsis :

Christine Brown, spécialiste en crédit immobilier, vit à Los Angeles avec son petit ami, le Professeur Clay Dalton. Tout va pour le mieux jusqu'au jour où la mystérieuse Mme Ganush débarque à la banque et la supplie de lui accorder un crédit supplémentaire pour sa maison. Christine hésite entre la compassion et la pression de son patron, Mr Hicks, qui la voudrait plus ferme avant de lui octroyer une promotion. Fatalement, Christine choisit sa carrière, même si sa décision met Mme Ganush à la rue. Pour se venger, la vieille femme jette la malédiction du Lamia sur Christine, transformant sa vie en un véritable cauchemar. Hantée par un esprit malfaisant, incomprise de son petit ami, elle se fait aider du medium Rham Jas, qui l'entraine dans une course frénétique contre la damnation éternelle, pour inverser le sortilège...




Quelques secrets de tournage :

D'après une histoire vraie
Sam Raimi et son frère, Ivan, ont eu l'idée de cette histoire de démon jetant un sort à une employée de banque qui lui avait refusé un prêt après avoir lu le récit d'un incident similaire survenu en Oregon en 1996.

Retour aux sources
Avec Jusqu'en enfer, Sam Raimi revient à ses premières amours : l'horreur, genre qui l'avait fait connaître grâce à la trilogie Evil Dead.




Un chiffre prémonitoire
Jusqu'en enfer est le treizième long métrage réalisé par Sam Raimi.



Enfer à Cannes
Jusqu'en enfer fait partie de la sélection officielle du 62è Festival de Cannes, où il est présenté en Séance de Minuit.


Ellen Page quitte le film
A l'origine, c'est Ellen Page qui devait endosser le rôle de Christine, le personnage principal. Mais en raison d'un agenda particulièrement chargé, elle a finalement cédé sa place à Alison Lohman.




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De nombreuses critiques presse :


Première:
Jusqu'en enfer se voit comme une fable horrifique virtuose dont chaque scène vous cloue dans le wagon d'un train fantôme qui semble ne jamais vouloir ralentir (...) Avis à tous les petits malins (au hasard Saw 1 à 12) qui avaient profiter de son absence pour saccager la maison: papa est de retour.



Dvdrama:
Croyez-nous, Jusqu'en enfer est la meilleure attraction que vous pourrez voir cette année au cinéma. Et c'est ainsi que Sam Raimi est grand.


TéléCinéObs:
A l`aune de la crise actuelle, le film acquiert une résonance qui fait de son réalisateur un artiste de son temps.


20 Minutes:
(...) retour réussi dans le monde du fantastique (...)




Metro :
A la fois effrayant et à hurler de rire, Jusqu'en enfer est un vrai bon film d'horreur (...) Raimi réussit à condenser tous les clichés du genre, tout en créant une ambiance prenante, qui ne laissera pas indifférents les cinéphiles avertis.




Le Figaroscope :
Mêlant avec une évidente jubilation, l'humour noir, la sorcellerie et les effets de terreur, Raimi a concocté un excellent petit film d'horreur à l'ancienne.


Le Monde:
Le plaisir (...) que l'on éprouve à la vision de Jusqu'en enfer relève tout autant de son humour horrifique régressif que de la joie sadique, teintée de bouffées de compassion (...) Jusqu'en enfer vient confirmer de façon réjouissante que le mal, dans sa dimension concrète, est bien ce qui intéresse Sam Raimi.




Les Inrockuptibles:
(...) Raimi n'est pas Loach (...) et son film moins prétexte à la satire sociale qu'à un déferlement de violence ludique, mais il demeure malgré tout un cinéaste moral qui ne cesse de répéter: gare aux parvenus...(...)

Le Point:
Pour avoir refusé, par ambition, un nouveau prêt immobilier à une vieille Gitane, qui en mourra, une ravissante employée de banque, qui ne pensait pas à mal, va voir sa vie transformée en enfer par l'esprit tapageur de sa victime. Prenez une des plus ravissantes actrices américaines (Alison Lohman) et faites-lui subir les pires ennuis : c'est un des ressorts, assez sadiques, de la série B et du film d'horreur, dont le réalisateur de Spiderman revisite ici, avec brio, les clichés. Le propre de la série B est aussi de traiter par la bande des sujets sérieux : l'indifférence, l'absence de compassion, la responsabilité... Raimi y parvient très bien dans ce petit film qui ne se prend pas au sérieux. Il n'est pas non plus interdit de voir une allusion à la crise des subprimes. Employés de banque, tremblez : si vous promettez beaucoup aux pauvres avant de leur couper le robinet, voilà ce qui pourrait vous arriver.




L'express:
Après trois excursions dans la superproduction hollywoodienne (la série des Spider-Man), le réalisateur Sam Raimi revient à ses premières amours : la série B d'horreur.
Jusqu'en enfer est l'histoire, délirante mais effectivement effrayante, d'un démon qui, réveillé par la malédiction d'une vieille harpie, cherche à entraîner dans son royaume une jeune employée de banque. C'est aussi, et surtout, un drôle d'hommage à un cinéma dont Raimi aime les excès et les clichés, sans en être dupe.
On rit beaucoup, mais on a encore plus peur. Après ce film, vous ne regarderez plus jamais le dentier de votre grand-mère de la même manière...



source : allocine


bande annonce :

G trop envie d'aller le voir...